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Affichage des articles du juillet, 2009

Discours de l’Ambassadeur de France au Burundi à l’occasion de la réception du 14 juillet 2009

L'Ambassadeur de France au Burundi, Monsieur Joël LOUVET a prononcé un discours très remarqué lors de la réception qu'il a organisée à sa résidence à l'occasion de la célébration de la fête nationale française। Trouvez-leci dessous dans son intégralité. Discours de l’Ambassadeur de France au Burundi à l’occasion de la réception du 14 juillet २००९ Monsieur le Premier Vice-Président de la République, Honorables parlementaires, Messieurs les anciens présidents de la République Mesdames et Messieurs les Ministres, Monsieur le Représentant exécutif du Secrétaire général des Nations Unies, Monsieur le Doyen du Corps Diplomatique, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et chers collègues, Mesdames et Messieurs les représentants des organisations internationales, Mesdames et Messieurs les représentants des Organisations non gouvernementales, Mesdames et Messieurs les membres de la société civile, Mesdames, Messieurs mes compatriotes, Et, pour résumer et clore cette liste protocolai

LETTRE DES PARTIS POLITIQUES AU SECRETAIRE GENERAL DES NATIONS UNIES

République du Burundi Partis Politiques Bujumbura, le 14 Juillet 2009 Transmis Copie Pour Information à : Son Excellence Pierre NKURUNZIZA, Président de la République du Burundi ; Son Excellence Yoweli KAGUTA MUSEVENI, Président de l’Initiative de la Paix sur le Burundi et Président de la République de l’Ouganda Son Excellence Mouamar Kaddafi, le Guide de la révolution Libienne et Président en exercice de l’Union Africaine Son Excellence Jakaya Mrisho KIKWETE, Président de la République Unie de la Tanzanie et Président en exercice de l’Union Africaine Son Excellence Jacob ZUMA, Président de la République Sud Africaine ; Son Excellence Paul KAGAME, Président de la République Rwandaise ; Son Excellence Mwayi Kibaki, Président de la République du Kenya ; Son Excellence Jean PING, Président de la Commission de l’Union Africaine ; Son Excellence le Secrétaire Général de l’Union Interparlementaire ; Avec les assurances de nos plus hautes considérations. A son Excellence Ban Ki

Point de presse du Secrétaire général du gouvernement

Nous publions cette déclaration faite le 15 juillet par le Secrétaire Général du Gouvernement, Philippe NZOBONARIBA juste pour que nos lecteurs puissent prendre connaissance des arguments avancés par le gouvernement du Burundi en ce qui concerne l’ordre des prochaines élections. Cela ne reflète pas du tout नोट्रे position. Point de presse du Secrétaire général du gouvernement 1. En date du 9 juillet 2009, le Conseil des Ministres a analysé le projet de loi portant révision du Code Electoral présenté par le Ministre de l’Intérieur. 2. Des protestations ont été entendues de la part de certains partis politiques notamment le Parti SAHWANYA- FRODEBU dont les Ministres se sont successivement retirés de la séance du Conseil lors de l’analyse du texte sans toutefois avertir. 3. L’orientation qui a guidé le Gouvernement pour adopter le projet de texte proposé par le Ministre de l’Intérieur a été principalement le souci de ne pas toucher les aspects ayant des implications sur les dispos

DECLARATION DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT DU BURUNDI ISSUS DU PARTI SAHWANYA - FRODEBU

सोर्स: व्व्व.फ्रोदेबू.be Ce jeudi 09 juillet 2009, un projet de code électoral a été présenté dans le Conseil des Ministres pour analyse। A l’issu de la lecture du dit projet de code, nous, soussignés, Membres du Gouvernement du Burundi issus du Parti Sahwanya-FRODEBU, avons constaté de graves distorsions dans son contenu, notamment : 1. Alors que l’exposé des motifs prétend que les orientations qui ont été données par les Partis politiques et la société civile dans les différents cadres de concertation et de dialogue ont permis de confectionner ce projet, nous constatons que plusieurs parties importantes de ce projet s’en écartent totalement. 2. Le projet de code électoral déclare que l’ordre des élections a été inversé par rapport à l’année 2005, alors que ce point sensible n’a jamais fait objet d’orientation commune entre les différents partenaires. Par ailleurs plusieurs participants à ces cadres avaient formellement rappelé que la succession des élections a été arrêté